Friday 6 May 2011

Franglais


Le garçon dit a son père ‘Bonjour! Donnez-moi l’argent qui est donné à moi quand votre morte, s’il vous plait.’

Le fermier d’accord, et son fils allezed via à la sortie, rapidement. Il commence le vivre sauvage, qui involvé les mademoiselles de virtu facile (qui est trés, très mauvais, parce que très, très sportif), Vingt et Un, Baccarat, Chemin de Fer, cognac, le champagne, et beaucoup de grand déjeuner Cordon Bleu, avec juliennes, poussin, les haricots français, pommes de terre rosti, divers joux et plus de vin du table. Tout d’argent frite-ered, et les femmes chèries dépardue.

Sans francs, sans amis, sans crêpe. Fils regardez les jambons. Manger pigswill est inderdit (parce que, malheuresement, il est très macabre). Poof! un révèlation. Les domestiques du Papa mange… J’ascendai, allez a nous champs des animaux, et dit ‘Je suis non meritante appellé fils; employez-vous moi, si vous plait, a prolétariat…’

Il returnez a la maison, mais Papa voyez à point de avantage, et arrivé tout de vittesse. Papa donnez un ring d’or, un vestment, les flip-flops et bifsteak.

Maintenant, le party revellais avec mille feuilles, sorbets, fondants, roulards, sachertorte, tarte tartin, profiteroles – patisserie variouse – et créme anglaise, et plus de chocolat.

‘Mon fils etait perdu ; il sont trouvé ! Il etait mort; mais vive mon fils! Donnez-vous plus de merci-biens a mon Dieu, ou est très magnifique!’

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